Les 3 arnaques statistiques classiques du vaccine-washing

J’ai lu cet article du Washington Post de fin novembre (désolé, en anglais), au titre racoleur « Covid is no longer mainly a pandemic of the unvaccinated. Here’s why. » c’est à dire en français « Le Covid n’est plus une maladie touchant principalement les non-vax. Voici pourquoi. » On aurait pu croire, à la vue de cette accroche, qu’ils avaient enfin accepté la vérité et viré leur cuti publiquement. Le coming-out-covid du Washington Post, en quelque sorte ! Mais c’eut été mal connaitre ces fourbes. Le but est évidemment tout à fait opposé : attirer le chaland peu scrupuleux et lui remettre une bonne couche de propagande criminelle.

Si dans l’article ils reconnaissent que 58% des décès COVID durant le mois d’août 2022 aux États-Unis sont des personnes ayant “au moins reçu la première série de doses” du « vaccin » anti-Covid, ils finissent bien sûr avec l’unique mantra qu’il leurs reste pour essayer de fourguer leur poison à la population (puisque les protections contre la contraction et la diffusion sont maintenant bien mortes et enterrées), leur antienne d’une pseudo protection contre les formes graves. En effet, les chiffres confirmeraient que finalement il y a proportionnellement beaucoup moins de morts chez les vax que chez les non vax.

L’article s’appuie sur le dataset américain du CDC en ligne listant les nombres de cas et de décès COVID-19 par semaine, groupe d’âge, statut vaccinal et dose de rappel.

N’ayant aucune confiance en le Wahsington Post (et en aucun autre média d’ailleurs), je suis allé vérifier ce dataset (jeu de données) américain par moi-même.

Et sans aucune surprise (de ma part), on y retrouve tous les biais et fraudes utilisés depuis le début, y compris dans les pseudos tests réalisés par les fabricants pour obtenir leur AMM conditionnelle, et en particulier les 3 principaux :

I/ Ne sont pris en compte que les « morts du COVID », c’est à dire, si on lit plus précisément les détails, les gens qui sont morts jusqu’à 30 jours après un diagnostique (par test PCR !) de COVID positif. Quand on connait le peu de fiabilité de ces tests et quand on sait que les personnes vaccinées se testent beaucoup moins (car non obligées par la loi), on imagine le biais énorme que cela introduit.

II/ Les gens ne sont considérés comme vaccinés, ou boostés, que 14 jours après leur injection ! Quand on sait que la plupart des problèmes liés à ces pseudos vaccins – que ce soit la contraction d’un COVID grave dû à l’effet ADE ou la survenue d’effets indésirables graves – apparaissent justement dans les quinze jours suivant l’injection, on imagine le nombre de cas qui sont comptabilisés à tort dans le camp des non-vax alors qu’il s’agit bel et bien de morts de vax.

III/ Ne sont comptabilisés qu’une partie des morts. Comme on peut le lire plus haut, dans ce dataset américain, à l’instar par exemple des pseudos études de la DREES française, seuls 31 états sur les 50 états américains remontent leurs informations.

Comme on l’a déjà souvent dit, les seules données qui ont un quelconque intérêt pour comparer la mortalité chez les vaccinés et chez les non vaccinés sont les statistiques globales de morts, toutes causes confondues, intégrant la date d’injection et la date du décès afin de bien compter les morts du côté des vax dès le premier jour d’injection.

A ma connaissance, le seul pays mettant ce genre de données à disposition de tout un chacun est l’Angleterre, grâce à son office national des statistiques, l’ONS. Et leurs chiffres démontrent sans appel possible que i/ 95% des morts sont « vaccinés » alors que ces « vaccinés » représentent 75% de la population, 20 points de pourcentage d’écart, soit une efficacité négative contre la mort et ii/ cette part du nombre de morts « vaccinés » ne cesse d’augmenter (entre septembre et mai elle est passé de 94% à 96,6%).

Pour conclure, il faut garder à l’esprit que toute étude ou article qui s’appuie sur un de ces biais frauduleux – uniquement les morts du (?) covid + 14 jours de carence avant déclaration vax + non exhaustivité géographique – voire les 3 comme dans ce dataset inutile du CDC, ne représente qu’une arnaque statistique covid supplémentaire participant de cette dérisoire entreprise mondiale de vaccine-washing qui devra être poursuivie devant les tribunaux quand la justice populaire passera.

L’arnaque statistique COVID-19 par P. Chaillot

Une présentation I N D I S P E N S A B L E de Pierre Chaillot, toujours lui, sur les fraudes statistiques mises en œuvre par les gouvernements depuis le début de l’année 2020 pour créer et entretenir la peur d’un virus, mais également faire croire à l’efficacité des vaccins censés protéger contre ce dernier.

Cette mécanique est d’ordre bureaucratique. Des règles ont été édictées très tôt de façon à maîtriser les comptages et mettre tous les projecteurs sur le fameux Covid-19. La nouveauté de ce siècle est qu’il n’y a même plus besoin d’avoir des symptômes pour être déclaré malade, et même plus besoin de malades pour déclarer une pandémie.

Démontage implacable de cette arnaque mondiale criminelle appelée COVID-19, il s’agit d’une sorte de synthèse, de condensé des différentes analyses statistiques exceptionnelles que Pierre Chaillot a sorti depuis le début de ce délire. Tous les aspects de cette fraude internationale sont résumés dans cette vidéo :

  1. Il n’y a pas eu d’hécatombe ni en France, ni nulle part : en prenant le nombre de décès standardisé par âge, ce qu’on fait tout le temps d’habitude en statistiques démographiques, en France, l’année 2020 a la même mortalité que l’année 2015 ; c’est la 6ème année la MOINS mortelle de toute l’histoire de France. Et c’est pareil pour TOUS les pays européens ; en fait l’année 2020, année de grande hécatombe pandémique COVID, est même pour certains pays un année record de SOUS-MORTALITE jamais atteinte au préalable (comme en Suède, Islande, Danemark ou Irlande ; pour les pires élèves, l’année 2020 est la dixième année la moins mortelle de toute leur histoire.
  2. Il n’y a pas eu globalement en France, sauf dans quelques hôpitaux particuliers, de saturation hospitalière, ni même de saturation des lits de réanimation
  3. En début d’année 2020, l’OMS impose à tous les hôpitaux des pays membres de l’OMS d’utiliser un nouveau code UO7.1 pour classifier tous les malades d’infection respiratoire et parallèlement en France, les autorités imposent un changement de définition aux médecins afin de ne plus utiliser la classification de grippe mais plutôt celle d’infection respiratoire aiguë. On fait donc apparaitre une nouvelle pathologie dans les statistiques en enlevant les anciennes.
  4. Le « pic de mortalité » de Mars-Avril 2020, début de la prétendue pandémie de ce virus terriblement mortel, n’est en fait visible que dans quelques pays européens (seulement 9 sur les 35 pays européens), et seulement quelques départements Français (seuls les 8 départements franciliens adeptes du DDD et 5 autres départements on un pic de mortalité en Mars-Avril).
  5. Il faut donc expliquer la surmortalité pour ces quelques zones autrement que par la seule propagation d’un virus mortel qui s’arrêterait aux frontières. Pour la France, TOUTE la surmortalité de cette période s’explique par les décisions politiques qui ont été prises (confinement, interdiction des soins chez le médecin, suppression des interventions autres que COVID en hôpital, attente des symptômes finaux avant d’être reçu aux urgences ou DDD, rivotrilisation des vieux, etc) :
    • Décès à domicile : surmortalité = 5200 vs AVC+Infarctus non soignés = 4800 (estimés par rapport aux années précédentes)
    • Décès à l’hôpital : surmortalité = 7000 vs Morts en 3 jours = 6000 (dont 3000 le jour même !)
    • Décès en EHPAD : surmortalité = 5000 vs « bénéficiaires » Rivotril = 5000 (campagnes d’accompagnement à la fin de vie avec Rivotril sur soupçon de COVID)
  6. Les études d’efficacité des fabricants de « vaccins », Pfizer et Moderna, sont uniquement basées sur les tests (on se fout des malades ou des symptômes) et, chose exceptionnelle, en « observer-blinded » avec choix laissé au sujet (qui sait donc s’il a reçu le produit ou le placebo dans une ambiance de psychose généralisée sur un virus mortel qui sévit à tous les coins de rue) de se faire tester au rythme qu’il souhaite sur la base du volontariat ; au final, ces études montrent le même nombre de morts dans les 2 bras (et même 1 de moins chez les non vaccinés pour Pfizer).
  7. Les courbes qui montrent plus de cas chez les non-vax que chez les vax s’expliquent intégralement par le fait qu’on oblige les non-vax (par des règles administratives contraignantes jusqu’au pass sanitaire) à se tester beaucoup plus. Il n’y a pas d’efficacité en termes de symptômes, de malades, de formes graves ou de mortalité. Juste plus de tests PCR chez les non-vax, que les autorités transforment en une efficacité vaccinale.
  8. Enfin, concernant les effets secondaires des « vaccins », l’analyse montre qu’à chaque démarrage d’une grande phase de vaccination, apparait de manière concomitante une augmentation de la surmortalité, et ce pour tous les pays et dans toutes les tranches d’âge. Hasard ?

M A G I S T R A L !

La vidéo : Covid-19, histoire d’une fraude statistique

Mais arrêtez d’appeler ça des vaccins !

Qu’est-ce qu’il est fatigant d’entendre parler en permanence de « vaccins » à propos de ces injections à ARNm !

Comme je l’ai déjà dit, c’est là qu’on a perdu la « guerre », celle des idées, dès le début, quand le système médiatico-politico-sanitaro-industriel a réussi, comme toujours finalement, à imposer très facilement son vocabulaire à évocation positive. Convoquer en un seul petit mot chantant, le bon Pasteur et son laboratoire empli de fioles colorées, la victoire de l’homme avec un grand H contre la rage folle, l’éradication interstellaire des méchants bacilles… Bravo, du grand art. Comment se battre contre des « vaccins » ? Contre des gens qui vous veulent du bien ? Impossible. C’était déjà plié.

Qu’est-ce qu’un vaccin ?

Selon le Larousse, ce serait juste une « substance d’origine microbienne ou de synthèse que l’on administre à un individu ou à un animal, pour les immuniser contre une maladie. »

Voilà à mon sens une définition bien insuffisante. Selon cette acception, injecter la maladie microbienne elle-même serait ainsi un acte de vaccination. Si vous y survivez, vous serez en effet immunisé. Allons plus loin, tuer carrément le sujet et il sera définitivement et éternellement immunisé également contre la maladie, contre toutes les maladies ! La mort comme vaccin ultime … hum.

On voit bien qu’il faudrait complémenter cette définition au minimum ainsi :

  1. Une substance d’origine microbienne ou de synthèse
  2. que l’on administre à un individu ou un animal sain
  3. pour les immuniser contre cette maladie
  4. sans que le sujet ne développe de manière incontrôlée la maladie elle-même ou tout autre forme de complications plus toxiques que la maladie elle-même (espoir d’une balance bénéfice/risque favorable)

Sinon, quel est l’intérêt de se faire « vacciner » ? Dites-moi ma bonne dame !

On connait le rôle déterminant, voire essentiel, de la Spike dans la maladie COVID. C’est même probablement l’agent réellement toxique du virus SARS-COV à cause de son rôle de préemption des protéines ACE2 de notre organisme qui, occupées à satisfaire les appétits gloutons de nos petites Spike en mal d’amour, ne peuvent plus jouer leur rôle anti-inflammatoire essentiel. Et c’est cette même protéine Spike, avec la même affinité pour le récepteur ACE2 et donc capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires, que les « vaccins » ARNm demandent à nos cellules de produire en grande quantité (incontrôlée) dans notre organisme (lire ça ou ça pour plus de détails sur l’interfonctionnement entre Spike et ACE2).

Rien n’est contrôlé dans cette production de Spike. Ni les organes impliqués, ni la pharmacocinétique, ni la quantité de Spike produites.

En d’autres termes, on demande à nos cellules de produire, sans vraiment garantir quelles cellules seront mises à contribution, ni pendant combien de temps, ni dans quelles quantités, des protéines hyper-toxiques (Spike) – et qui sont en pleine forme à l’inverse d’un vaccin standard – tout ça en espérant que notre organisme saura lutter contre ! C’est une blague !?

Poursuivre la lecture de « Mais arrêtez d’appeler ça des vaccins ! »

Protection contre les formes graves des injections ARNm, quelle (triste) farce !

Un article très intéressant (en anglais, évidemment, désolé) paru ce 4 mai 2022 sur l’Exposé, intitulé « Pfizer Documents reveal Medicine Regulators and Pfizer knew COVID Vaccine caused Vaccine-Associated Enhanced Disease » (VAED), que l’on peut traduire par

« Les documents de Pfizer révèlent que les organismes de régulation des médicaments et Pfizer savaient que le vaccin COVID causait des maladies VAED »

Des documents confidentiels de Pfizer que la Food and Drug Administration des États-Unis a été forcée de publier par ordonnance du tribunal confirment bien que Pfizer et la FDA savaient que des VAED (maladies provoquées par le vaccin) étaient une conséquence possible des injections d’ARNm.

Ils révèlent également qu’ils ont reçu des preuves de leur apparition, y compris plusieurs décès, mais les ont mises sous le tapis en affirmant « qu’aucun nouveau problème de sécurité n’a été soulevé ».

Les conséquences de cette dissimulation ? Les quelques rares données officielles du gouvernement (ici, le gouvernement UK) qui sortent encore (toutes les données triées par statut vaccinal ayant depuis été interdites en Angleterre, Écosse et Irlande) semblent bien confirmer fortement que les personnes entièrement piquées sont jusqu’à 2 fois plus susceptibles d’être hospitalisées avec Covid-19, et 2 à 3 fois plus susceptibles de mourir de Covid-19.

Quelques graphiques extraits de cette article.

Au final, une efficacité négative !

En conclusion, ces chiffres montrent que la plupart des individus doublement vaccinés ont deux fois plus de risques de mourir du Covid-19 que les individus non vaccinés à cause des VAED causées par le « vaccin », et Pfizer savait que cela allait arriver.

Allez, bonne 4ème dose !

COVID-19, France 2021 vs France 2020

Comme on le sait, un schéma est parfois plus frappant que de longues phrases. Alors voici, la courbe des mortalités comparées en France pour les années 2019, 2020 et 2021. J’ai déjà utilisé ces chiffres bien utiles de l’INSEE, puisqu’ils montrent la mortalité globale en France sans se soucier de l’étiquette COVID.

Pourquoi est-ce que je trouve cette comparaison brute intéressante ? Parce qu’il s’agit de :

  • 2019, année avant COVID
  • 2020, année COVID sans « vaccins »
  • 2021, année COVID sous « vaccination » de masse intensive

Même s’ils ont fini par admettre, après avoir affirmé l’inverse pendant des mois au début des injections, que leurs « vaccins » ne protégeaient pas d’attraper la maladie, ni de la transmettre, bref que ce n’était tous comptes faits pas des vaccins, nos bons maitres (dirigeants, journalistes, experts de plateaux, etc) continuent de diffuser la fake news selon laquelle ces produits protègeraient à plus de 80% contre les formes graves de la maladie. J’ai déjà abordé cette légende urbaine ici et , par exemple, en comparant quelques pays européens.

Regardons aujourd’hui la France de 2020 à la France de 2021. Et en restant juste au niveau des données brutes de l’INSEE, ce qui exagère en ce moment les taux de mortalité comme l’ont montré plusieurs études de Vincent Pavan ou de Pierre Chaillot en partant des données ajustées selon la pyramide des ages. Voici :

Voilà, voilà … 2021 l’année « vaccinée » en bleu, 2020 l’année découverte en rose …

Au final, moins de 9 000 morts de moins en 2021 par rapport à 2020, soit une diminution brute de la mortalité d’environ 1.3%. Si on prend en compte le fait que, en 2021, même s’il était toujours interdit de traiter précocement les patients infectés, plusieurs facteurs ont contribué largement à la réduction des morts du COVID, des facteurs tels qu’une meilleure prise en charge à l’hôpital avec des procédures en particulier d’oxygénation plus efficaces, une psychose générale légèrement diminuée, l’effet moisson de 2020 éliminant une grande partie des cibles potentielles pour 2021, et des variants SARS-COV moins létaux, la part qu’a pu jouer la « vaccination » dans cette diminution semble bien faible.

D’ailleurs, la courbe de mortalité estampillée COVID témoigne également, à mon sens, de la (très) faible efficacité contre la mort (forme grave ultime de la maladie, vous en conviendrez) de ces produits qui sont injectés à la population française. Il ne s’agit plus là de données INSEE évidemment mais des données OWD tout aussi officielles utilisées par l’ensemble de la planète :

Ce qui nous donne :

  • 64 644 morts identifiés COVID par la France pour 2020
  • et 59 161 pour 2021, soient 5 483 morts de moins, ce qui correspond à une baisse d’un vertigineux … 8,5%.

Pour conclure au doigt mouillé, à la grosse louche, et même en partant des données brutes non ajustées (ce qui amplifierait pourtant davantage ma conclusion), en prenant en compte le fait que beaucoup de facteurs ont permis en 2021 une diminution de la mortalité liée au COVID (amélioration des procédures de prise en charge, effet moisson de 2020 et diminution de la létalité des variants), il me semble légitime de considérer que les injections généralisées de gènes de Spike, improprement appelée par la classe dirigeante « vaccination », n’a permis de baisser la mortalité que d’environ 5%, et encore je suis généreux.

A comparer aux dizaines de milliers de vies qui auraient pu être sauvées si on avait autorisé les médecins à prescrire des traitements précoces aux malades …

J’espère, sans trop y croire, qu’un jour la vérité, la vraie, celle surtout non certifiée par les autoproclamés fact checkers du Monde et de Libé, passera sur tout ça …