L’arnaque statistique COVID-19 par P. Chaillot

Une présentation I N D I S P E N S A B L E de Pierre Chaillot, toujours lui, sur les fraudes statistiques mises en œuvre par les gouvernements depuis le début de l’année 2020 pour créer et entretenir la peur d’un virus, mais également faire croire à l’efficacité des vaccins censés protéger contre ce dernier.

Cette mécanique est d’ordre bureaucratique. Des règles ont été édictées très tôt de façon à maîtriser les comptages et mettre tous les projecteurs sur le fameux Covid-19. La nouveauté de ce siècle est qu’il n’y a même plus besoin d’avoir des symptômes pour être déclaré malade, et même plus besoin de malades pour déclarer une pandémie.

Démontage implacable de cette arnaque mondiale criminelle appelée COVID-19, il s’agit d’une sorte de synthèse, de condensé des différentes analyses statistiques exceptionnelles que Pierre Chaillot a sorti depuis le début de ce délire. Tous les aspects de cette fraude internationale sont résumés dans cette vidéo :

  1. Il n’y a pas eu d’hécatombe ni en France, ni nulle part : en prenant le nombre de décès standardisé par âge, ce qu’on fait tout le temps d’habitude en statistiques démographiques, en France, l’année 2020 a la même mortalité que l’année 2015 ; c’est la 6ème année la MOINS mortelle de toute l’histoire de France. Et c’est pareil pour TOUS les pays européens ; en fait l’année 2020, année de grande hécatombe pandémique COVID, est même pour certains pays un année record de SOUS-MORTALITE jamais atteinte au préalable (comme en Suède, Islande, Danemark ou Irlande ; pour les pires élèves, l’année 2020 est la dixième année la moins mortelle de toute leur histoire.
  2. Il n’y a pas eu globalement en France, sauf dans quelques hôpitaux particuliers, de saturation hospitalière, ni même de saturation des lits de réanimation
  3. En début d’année 2020, l’OMS impose à tous les hôpitaux des pays membres de l’OMS d’utiliser un nouveau code UO7.1 pour classifier tous les malades d’infection respiratoire et parallèlement en France, les autorités imposent un changement de définition aux médecins afin de ne plus utiliser la classification de grippe mais plutôt celle d’infection respiratoire aiguë. On fait donc apparaitre une nouvelle pathologie dans les statistiques en enlevant les anciennes.
  4. Le « pic de mortalité » de Mars-Avril 2020, début de la prétendue pandémie de ce virus terriblement mortel, n’est en fait visible que dans quelques pays européens (seulement 9 sur les 35 pays européens), et seulement quelques départements Français (seuls les 8 départements franciliens adeptes du DDD et 5 autres départements on un pic de mortalité en Mars-Avril).
  5. Il faut donc expliquer la surmortalité pour ces quelques zones autrement que par la seule propagation d’un virus mortel qui s’arrêterait aux frontières. Pour la France, TOUTE la surmortalité de cette période s’explique par les décisions politiques qui ont été prises (confinement, interdiction des soins chez le médecin, suppression des interventions autres que COVID en hôpital, attente des symptômes finaux avant d’être reçu aux urgences ou DDD, rivotrilisation des vieux, etc) :
    • Décès à domicile : surmortalité = 5200 vs AVC+Infarctus non soignés = 4800 (estimés par rapport aux années précédentes)
    • Décès à l’hôpital : surmortalité = 7000 vs Morts en 3 jours = 6000 (dont 3000 le jour même !)
    • Décès en EHPAD : surmortalité = 5000 vs « bénéficiaires » Rivotril = 5000 (campagnes d’accompagnement à la fin de vie avec Rivotril sur soupçon de COVID)
  6. Les études d’efficacité des fabricants de « vaccins », Pfizer et Moderna, sont uniquement basées sur les tests (on se fout des malades ou des symptômes) et, chose exceptionnelle, en « observer-blinded » avec choix laissé au sujet (qui sait donc s’il a reçu le produit ou le placebo dans une ambiance de psychose généralisée sur un virus mortel qui sévit à tous les coins de rue) de se faire tester au rythme qu’il souhaite sur la base du volontariat ; au final, ces études montrent le même nombre de morts dans les 2 bras (et même 1 de moins chez les non vaccinés pour Pfizer).
  7. Les courbes qui montrent plus de cas chez les non-vax que chez les vax s’expliquent intégralement par le fait qu’on oblige les non-vax (par des règles administratives contraignantes jusqu’au pass sanitaire) à se tester beaucoup plus. Il n’y a pas d’efficacité en termes de symptômes, de malades, de formes graves ou de mortalité. Juste plus de tests PCR chez les non-vax, que les autorités transforment en une efficacité vaccinale.
  8. Enfin, concernant les effets secondaires des « vaccins », l’analyse montre qu’à chaque démarrage d’une grande phase de vaccination, apparait de manière concomitante une augmentation de la surmortalité, et ce pour tous les pays et dans toutes les tranches d’âge. Hasard ?

M A G I S T R A L !

La vidéo : Covid-19, histoire d’une fraude statistique

Surmortalité des jeunes en Europe depuis juillet 2021

Une analyse indispensable de Pierre Chaillot (Décoder l’éco) à écouter, ré-écouter et à faire écouter en boucle tant que séviront dans les médias et ailleurs les ministres du culte covidiste tentant de répandre leur catéchisme criminel, façon méthode Coué, sur le triple mensonge du « vaccin sûr et efficace » :

Et en cas de censure (probable) par les grands démocrates qui nous veulent du bien chez Google, la même vidéo sur Crowdbunker :

Surmortalité des jeunes en Europe depuis juillet 2021 ! Mais de quoi peuvent-ils bien mourir ?

Mais arrêtez d’appeler ça des vaccins !

Qu’est-ce qu’il est fatigant d’entendre parler en permanence de « vaccins » à propos de ces injections à ARNm !

Comme je l’ai déjà dit, c’est là qu’on a perdu la « guerre », celle des idées, dès le début, quand le système médiatico-politico-sanitaro-industriel a réussi, comme toujours finalement, à imposer très facilement son vocabulaire à évocation positive. Convoquer en un seul petit mot chantant, le bon Pasteur et son laboratoire empli de fioles colorées, la victoire de l’homme avec un grand H contre la rage folle, l’éradication interstellaire des méchants bacilles… Bravo, du grand art. Comment se battre contre des « vaccins » ? Contre des gens qui vous veulent du bien ? Impossible. C’était déjà plié.

Qu’est-ce qu’un vaccin ?

Selon le Larousse, ce serait juste une « substance d’origine microbienne ou de synthèse que l’on administre à un individu ou à un animal, pour les immuniser contre une maladie. »

Voilà à mon sens une définition bien insuffisante. Selon cette acception, injecter la maladie microbienne elle-même serait ainsi un acte de vaccination. Si vous y survivez, vous serez en effet immunisé. Allons plus loin, tuer carrément le sujet et il sera définitivement et éternellement immunisé également contre la maladie, contre toutes les maladies ! La mort comme vaccin ultime … hum.

On voit bien qu’il faudrait complémenter cette définition au minimum ainsi :

  1. Une substance d’origine microbienne ou de synthèse
  2. que l’on administre à un individu ou un animal sain
  3. pour les immuniser contre cette maladie
  4. sans que le sujet ne développe de manière incontrôlée la maladie elle-même ou tout autre forme de complications plus toxiques que la maladie elle-même (espoir d’une balance bénéfice/risque favorable)

Sinon, quel est l’intérêt de se faire « vacciner » ? Dites-moi ma bonne dame !

On connait le rôle déterminant, voire essentiel, de la Spike dans la maladie COVID. C’est même probablement l’agent réellement toxique du virus SARS-COV à cause de son rôle de préemption des protéines ACE2 de notre organisme qui, occupées à satisfaire les appétits gloutons de nos petites Spike en mal d’amour, ne peuvent plus jouer leur rôle anti-inflammatoire essentiel. Et c’est cette même protéine Spike, avec la même affinité pour le récepteur ACE2 et donc capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires, que les « vaccins » ARNm demandent à nos cellules de produire en grande quantité (incontrôlée) dans notre organisme (lire ça ou ça pour plus de détails sur l’interfonctionnement entre Spike et ACE2).

Rien n’est contrôlé dans cette production de Spike. Ni les organes impliqués, ni la pharmacocinétique, ni la quantité de Spike produites.

En d’autres termes, on demande à nos cellules de produire, sans vraiment garantir quelles cellules seront mises à contribution, ni pendant combien de temps, ni dans quelles quantités, des protéines hyper-toxiques (Spike) – et qui sont en pleine forme à l’inverse d’un vaccin standard – tout ça en espérant que notre organisme saura lutter contre ! C’est une blague !?

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Tous « vaccinés », tous empoisonnés

J’en entends encore, de ci de là, essayer de défendre mordicus les « vaccins » qui ont été injectés à des milliards de personnes, sous la pression des gouvernements, des médias, des « élites » et de tout ce que la bourgeoisie libérale occidentale peut engendrer de pusillanimité servile.

Il n’y a pourtant, pour toute personne qui sait encore additionner 2 et 2, et par quelque bout que vous preniez les chiffres, plus aucun doute sur la quadruple arnaque criminelle qui a été infligée aux populations occidentales consentantes, et quelquefois prosélytes elles-mêmes. Mais il faut enfoncer le clou. Répétons :

  1. Les injections anti-covid ne protègent pas contre la contraction du virus (au contraire, avec l’effet ADE)
  2. Les injections anti-covid ne protègent pas contre la transmission du virus (au contraire, à cause d’un portage plus long)
  3. Les injections anti-covid ne protègent pas contre les formes graves et encore moins contre la mort (il suffit de regarder la mortalité par statut vaccinal en Angleterre, seul pays à diffuser ces chiffres, pour s’en convaincre)
  4. Les injections anti-covid sont sources d’effets indésirables, graves, très graves et mortels comme jamais aucun vaccin ne s’est même approché au centième (il suffit de regarder la base VAERS pour s’en convaincre)

Franchement, on s’attend à quoi d’un produit appelé « vaccin » ? Ne serait-il pas naturel de s’attendre à une amélioration de la situation COVID ? Surtout qu’on nous serine (sans mauvais jeu de mots) que le virus décimateur circule toujours, brrr. Et une amélioration de la situation ne devrait-elle pas se traduire sur la mortalité ?

Alors, j’ai regardé l’excès de mortalité, enregistré par le site de référence OWD, pour quelques pays européens frontaliers de la France, tous avec un taux de personnes inoculées à peu près semblable :

On voit bien sur ces courbes les campagnes de « vaccination » de masse qui débutent fin 2020 pour arriver en un an, fin 2021, à un plateau stabilisé autour des 80% de la population qui a reçu au moins 1 dose de produit. Ce taux n’a pratiquement plus changé depuis, et il reste donc dans tous ces pays un noyau dur de 15% à 20% de la population qui a refusé de se faire injecter quoi que ce soit (dont votre serviteur).

L’excès de mortalité se calcule comme la différence cumulée entre le nombre de décès (toutes causes confondues) signalés depuis le 1er janvier 2020 et le nombre de décès projeté pour la même période sur la base des années précédentes. Il s’agit donc bien d’un indicateur statistique. Et ça donne ceci :

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La triste farce de la prétendue protection contre les formes graves des injections ARNm, suite et fin (?)

L’Agence britannique de sécurité sanitaire, la UK Health Security Agency ou UKHSA, l’équivalent britannique de notre HAS, cherchait depuis des mois une excuse pour arrêter de publier les données, car celles-ci montraient clairement que la population vaccinée souffrait d’immenses dommages au système immunitaire, avec des taux de cas, d’hospitalisation et de mortalité pour 100 000 plus élevés parmi la population entièrement vaccinée. Il existe quelques données qui ont subsisté en ligne pour quelques semaines particulières (Week 3, Week 7 et Week 13)

Mais une autre agence gouvernementale britannique, connue sous le nom d’Office for National Statistics (ONS), un peu comme notre INSEE, vient juste de publier, ce 6 juillet 2022 dernier, des données sur les décès par statut vaccinal. Enfin, serait-on tenter de dire ! Toujours rien en revanche bien sûr pour la France.

Ce dernier ensemble de données de l’ONS est intitulé « Décès par statut de vaccination, Angleterre, 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 », et il peut être consulté sur le site de l’ONS et téléchargé ici (pour ceux qui veulent s’amuser à refaire des calculs).

Comme l’indique le titre du dataset, on y trouve beaucoup de tables, comptabilisant le nombre de morts et les mortalités réajustées de l’âge, selon le statut vaccinal, par tranche d’âge, et liée au COVID ou pas, le tout mois par mois depuis le 1er janvier 2021.

Étant donné le caractère assez volatil de certains critères (doit-on faire confiance à la classification de mort liée au COVID ? pourquoi réajuster par rapport à 2013 ? doit-on s’intéresser à la période de début d’inoculation où peu de gens étaient « vaccinées » ? etc), j’ai préféré faire un petit calcul simple (simpliste ?) mais parlant. Enfin, je crois.

Depuis le tableau 1, j’ai juste extrait, mois par mois, le nombre de morts toutes causes confondues (pour pas m’encombrer de cette étiquette COVID à laquelle on fait dire n’importe quoi), en séparant d’une part ceux qui n’avaient jamais subi aucune inoculation et d’autre part, ceux qui s’étaient fait piquer au moins une fois (au moins une dose de cette merde). Et je ne me suis intéressé qu’aux chiffres à partir de septembre 2021. Pourquoi septembre 2021 ? Tout simplement parce que c’est grosso modo à partir de là que le taux de vaccination se stabilise à peu près en Angleterre entre 70% et 80%.

Et j’obtiens donc les chiffres suivants :

YearMonthVaccination statusCount of deathsTotal of deaths / monthPercentage of deaths / month
2021SeptemberUnvaccinated2172356776,09 %
2021SeptemberEver vaccinated335053567793,91 %
2021OctoberUnvaccinated2154390485,52 %
2021OctoberEver vaccinated368943904894,48 %
2021NovemberUnvaccinated2147388605,52 %
2021NovemberEver vaccinated367133886094,48 %
2021DecemberUnvaccinated2375422495,62 %
2021DecemberEver vaccinated398744224994,38 %
2022JanuaryUnvaccinated2166406235,33 %
2022JanuaryEver vaccinated384574062394,67 %
2022FebruaryUnvaccinated1493341064,38 %
2022FebruaryEver vaccinated326133410695,62 %
2022MarchUnvaccinated1437367853,91 %
2022MarchEver vaccinated353483678596,09 %
2022AprilUnvaccinated1349362343,72 %
2022AprilEver vaccinated348853623496,28 %
2022MayUnvaccinated1017304853,34 %
2022MayEver vaccinated294683048596,66 %

Chiffres qui sont beaucoup plus parlant une fois mis en graphique :

Tout le monde pourra noter que

  1. environ 95% des morts « tombent » chez les 75% de vaccinés (ça, c’est une putain d’efficacité négative les gars)
  2. cette part du nombre de morts « vaccinés » ne cesse d’augmenter (entre septembre et mai elle est passé de 94% à 96,6%).

Comme diraient les yankees « I rest my point ». Je m’arrêterai là. Si vous croyez toujours à la fable des labos et des gouvernants, on ne peut plus rien pour vous.

Ou alors, juste encore ça. Par rapport à la prétendue protection contre le COVID-19.

Le site, The Exposé, est aller plus loin dans l’analyse de ces données brutes. Malheureusement, c’est en anglais. Mais j’en ai extrait juste un graphique et une conclusion pour vous.

En partant du dernier ensemble de données du tableau 1 qui contient des chiffres sur les taux de mortalité par statut vaccinal en différenciant les décès impliquant Covid-19 et les décès n’impliquant pas Covid-19, et en se concentrant sur ce qui se passe depuis début avril 2022, juste donc sur les 2 derniers mois, ils ont pu montrer ça :

Leur conclusion est sans appel.

En Angleterre, les « vaccinés » représentent 94 % de tous les décès liés au COVID-19 depuis avril, dont 90 % étaient des triples/quadruples piqués.

Vivement les procès.