Je voudrais vous présenter aujourd’hui ce qui continue de se tramer au parlement européen, dans le dos de tous les peuples européens et, bien sûr, dans le silence complaisant des grands médias inféodés à la pensée unique.
Mais avant, permettez-moi un « bref » retour, comme promis dans ce billet, sur l’une des mesures les plus rétrogrades lancées dans l’indifférence générale par le président-candidat (ou candidat-président) Sarkozy lors du Sarkoday de la semaine dernière. Je vous avais déjà expliqué en quoi la TVA anti-sociale n’est pas une mesure destinée à favoriser l’emploi ou la production française mais uniquement une des mesures phares de la doxa néolibérale, s’attaquant aux plus faibles revenus (par la TVA) pour favoriser le capital (par les réductions de cotisations patronales qui seront intégralement transformés en augmentation de dividendes).
Parlons deux minutes d’une autre des mesures présentées lors de cette émission sirupeuse, j’ai nommé l’institutionnalisation du chantage patronal présenté sous le nom « d’accords compétitivité-emploi ».
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