Encore une résolution idéologique du Parlement européen historiquement inepte, le mythe du Holodomor

Dans son aveuglement idéologique russophobe devenu viscéral, le Parlement européen (PE), aujourd’hui 15 décembre 2022, vient de qualifier de génocide, mais uniquement pour ses victimes ukrainiennes (?), la grande famine qui eut lieu en URSS, en 1932 et 1933, et qui fit, selon les estimations des historiens, entre 5 et 8 millions de morts (dont la moitié ukrainiennes) :

« Le Parlement européen reconnaît l’Holodomor, la famine artificielle de 1932-1933 en Ukraine, causée par les actions délibérées du régime soviétique, le génocide contre le peuple ukrainien, condamne fermement ces actions du régime soviétique totalitaire, qui ont conduit à la la mort de millions d’Ukrainiens et a considérablement sapé les fondements de la société ukrainienne »

Au passage, le PE remet ainsi sur le devant de la scène le vieux mythe complotiste de l’Holodomor, créé aux États-Unis dans les années 80, et déjà « reconnu » par le même PE en 2008.

Aujourd’hui, 507 membres du Parlement européen ont voté pour cette résolution (réf. RC-B9-0559/2022) historiquement stupide, dont bien entendu nos pitoyables députés européens de LFI (voir page 81) qui continuent ainsi leur perdition. Argh pardon, Aubry s’est abstenue !

Il faut bien continuer de façonner l’image d’une gentille Ukraine victime «permanente» des vilains Russes, agresseurs «permanents», comme on le sait (c’est pas faute d’insister), de tout ce qui bouge en Europe.

Le caractère irrationnel de cette vision de l’histoire faisant porter la responsabilité de la famine en Ukraine dans les années 1932 et 1933 sur les épaules seules d’un Staline, qui voulait soi-disant éliminer physiquement le peuple ukrainien, est juste évident pour quiconque réfléchit 5 minutes (et connait un peu l’histoire). Mais Karine Bechet-Golovko prend néanmoins le temps de revenir sur certains éléments de l’accusation de cet «Holodomor» dans ce billet.

La haine de Staline ou du régime soviétique plus généralement n’excuse pas toutes les dérives (historiques, idéologiques, morales).

Au fait, la grande famine irlandaise du milieu du XIX siècle n’est toujours pas considérée (au grand dam de Sinead O’Connor) par le PE comme un acte volontaire des britanniques, du gouvernement anglais ou des propriétaires terriens même si, au delà de la perte de 10% de sa population, elle eut également des conséquences importantes en matière foncière, en accentuant le phénomène de concentration des terres et d’augmentation de la taille moyenne des exploitations souhaitée par les landlords. Toujours pas de génocide irlandais à l’horizon, du coup ! Des arguments moins complotistes, plus rationnels, en particulier le mildiou, sont avancés. Ah, le matérialisme Marxien quand même, ça a fait ses preuves.

En revanche, pour la famine qui a touché la population de l’Ukraine en 32-33, aucun argument matérialiste ne semble trouver son chemin jusqu’aux cerveaux des moutons européens biberonnés à la soupe otanienne. Il est tellement plus facile de se laisser emporter par un bon vieux complot monté par le régime stalinien plutôt que de réfléchir à

  • la désorganisation du système de production agricole sur le territoire de l’Union soviétique en pleine mutation à cette époque,
  • aux erreurs de la planification balbutiante,
  • à la grande sécheresse de 1931,
  • aux sabotages idéologiques de la contre révolution blanche contre la collectivisation,
  • au fait que les territoires de l’Ukraine de l’Ouest ne font pas partie de la Russie à cette époque mais … de la Pologne (!),
  • ou surtout au nombre de victimes de cette grande famine qui ont été aussi nombreuses dans le reste de l’URSS (!)

Franchement, planifier et mettre en œuvre par des actions délibérées, la conjonction de tous ces facteurs pour créer un génocide relèverait d’un génie et d’une omnipotence que seuls les dieux peuvent envisager d’atteindre, et encore, juste du bout du doigt. Les députés européens considèreraient-ils Staline pour un dieu ?

Encore un sujet pour ConspiracyWatch.

Lequel de ces produits est dangereux pour lutter contre le COVID-19 ?

Petite question rapide (et facile) pour les vrais scientifiques, et uniquement pour eux, les vrais, les types sérieux quoi, genre NoFakeMed, FactCheckers du Monde, de Libé ou de ConspiracyWatch, ou bien sûr les médecins et experts de plateaux. Sinon, ne vous y risquez pas, vous risqueriez une luxation du cerveau.

Alors, prêt ? De ces 3 produits, un seul a été interdit pour lutter contre le COVID-19 car considéré comme trop dangereux (pour le cœur si je me souviens bien). Lequel ?

Source : Extraction de tous les effets indésirables enregistrées à ce jour dans la Base de données européenne des déclarations d’effets indésirables suspectés d’être liés aux médicaments

Numéro 1 : Injection Pfizer

  • 62 136 effets indésirables sérieux d’ordre cardiaque enregistrés sur presque 1,2 millions d’effets indésirables au total
  • Injection inutile recommandée / imposée pour tout le monde (dès 6 mois, y compris les femmes enceintes) au niveau mondial

Numéro 2 : Paracétamol

  • 4 565 effets indésirables sérieux d’ordre cardiaque sur plus de 74000 effets indésirables au total
  • Seul médicament préconisé lorsque malade en attendant … de ne plus pouvoir respirer

Numéro 3 : Hydroxychloroquine

  • 2 688 effets indésirables sérieux d’ordre cardiaque sur à peine 22500 effets indésirables au total
  • Médicament prouvé très efficace en traitement précoce mais qui ne rapporte rien à personne (sauf aux malades)

Nan, mais vous pouvez pas comprendre, si vous êtes pas de BFM ou de France Inter, je vous avais prévenu !

L’arnaque statistique COVID-19 par P. Chaillot

Une présentation I N D I S P E N S A B L E de Pierre Chaillot, toujours lui, sur les fraudes statistiques mises en œuvre par les gouvernements depuis le début de l’année 2020 pour créer et entretenir la peur d’un virus, mais également faire croire à l’efficacité des vaccins censés protéger contre ce dernier.

Cette mécanique est d’ordre bureaucratique. Des règles ont été édictées très tôt de façon à maîtriser les comptages et mettre tous les projecteurs sur le fameux Covid-19. La nouveauté de ce siècle est qu’il n’y a même plus besoin d’avoir des symptômes pour être déclaré malade, et même plus besoin de malades pour déclarer une pandémie.

Démontage implacable de cette arnaque mondiale criminelle appelée COVID-19, il s’agit d’une sorte de synthèse, de condensé des différentes analyses statistiques exceptionnelles que Pierre Chaillot a sorti depuis le début de ce délire. Tous les aspects de cette fraude internationale sont résumés dans cette vidéo :

  1. Il n’y a pas eu d’hécatombe ni en France, ni nulle part : en prenant le nombre de décès standardisé par âge, ce qu’on fait tout le temps d’habitude en statistiques démographiques, en France, l’année 2020 a la même mortalité que l’année 2015 ; c’est la 6ème année la MOINS mortelle de toute l’histoire de France. Et c’est pareil pour TOUS les pays européens ; en fait l’année 2020, année de grande hécatombe pandémique COVID, est même pour certains pays un année record de SOUS-MORTALITE jamais atteinte au préalable (comme en Suède, Islande, Danemark ou Irlande ; pour les pires élèves, l’année 2020 est la dixième année la moins mortelle de toute leur histoire.
  2. Il n’y a pas eu globalement en France, sauf dans quelques hôpitaux particuliers, de saturation hospitalière, ni même de saturation des lits de réanimation
  3. En début d’année 2020, l’OMS impose à tous les hôpitaux des pays membres de l’OMS d’utiliser un nouveau code UO7.1 pour classifier tous les malades d’infection respiratoire et parallèlement en France, les autorités imposent un changement de définition aux médecins afin de ne plus utiliser la classification de grippe mais plutôt celle d’infection respiratoire aiguë. On fait donc apparaitre une nouvelle pathologie dans les statistiques en enlevant les anciennes.
  4. Le « pic de mortalité » de Mars-Avril 2020, début de la prétendue pandémie de ce virus terriblement mortel, n’est en fait visible que dans quelques pays européens (seulement 9 sur les 35 pays européens), et seulement quelques départements Français (seuls les 8 départements franciliens adeptes du DDD et 5 autres départements on un pic de mortalité en Mars-Avril).
  5. Il faut donc expliquer la surmortalité pour ces quelques zones autrement que par la seule propagation d’un virus mortel qui s’arrêterait aux frontières. Pour la France, TOUTE la surmortalité de cette période s’explique par les décisions politiques qui ont été prises (confinement, interdiction des soins chez le médecin, suppression des interventions autres que COVID en hôpital, attente des symptômes finaux avant d’être reçu aux urgences ou DDD, rivotrilisation des vieux, etc) :
    • Décès à domicile : surmortalité = 5200 vs AVC+Infarctus non soignés = 4800 (estimés par rapport aux années précédentes)
    • Décès à l’hôpital : surmortalité = 7000 vs Morts en 3 jours = 6000 (dont 3000 le jour même !)
    • Décès en EHPAD : surmortalité = 5000 vs « bénéficiaires » Rivotril = 5000 (campagnes d’accompagnement à la fin de vie avec Rivotril sur soupçon de COVID)
  6. Les études d’efficacité des fabricants de « vaccins », Pfizer et Moderna, sont uniquement basées sur les tests (on se fout des malades ou des symptômes) et, chose exceptionnelle, en « observer-blinded » avec choix laissé au sujet (qui sait donc s’il a reçu le produit ou le placebo dans une ambiance de psychose généralisée sur un virus mortel qui sévit à tous les coins de rue) de se faire tester au rythme qu’il souhaite sur la base du volontariat ; au final, ces études montrent le même nombre de morts dans les 2 bras (et même 1 de moins chez les non vaccinés pour Pfizer).
  7. Les courbes qui montrent plus de cas chez les non-vax que chez les vax s’expliquent intégralement par le fait qu’on oblige les non-vax (par des règles administratives contraignantes jusqu’au pass sanitaire) à se tester beaucoup plus. Il n’y a pas d’efficacité en termes de symptômes, de malades, de formes graves ou de mortalité. Juste plus de tests PCR chez les non-vax, que les autorités transforment en une efficacité vaccinale.
  8. Enfin, concernant les effets secondaires des « vaccins », l’analyse montre qu’à chaque démarrage d’une grande phase de vaccination, apparait de manière concomitante une augmentation de la surmortalité, et ce pour tous les pays et dans toutes les tranches d’âge. Hasard ?

M A G I S T R A L !

La vidéo : Covid-19, histoire d’une fraude statistique

Intervention de Vladimir Poutine au Club Valdai (texte complet)

Je mets ce discours sur mon blog pour pouvoir le retrouver plus facilement, car il me semble qu’il est fondamental (au sen propre). Il pose les fondations du monde multipolaire que V. Poutine appelle de ses vœux, à l’opposé du monde unilatéral, exclusivement dominé par les USA entourés de ses vassaux et en lutte permanente contre ses « ennemis » (déclarés, fantasmés, souhaités). On peut ne pas être d’accord avec certains de ses points de vue, et c’est ponctuellement mon cas, et on peut ne pas lui faire confiance quant à sa volonté réelle de voir advenir ce nouveau monde, mais je pense que tout un chacun, en tous cas tous ceux qui souhaitent parler sérieusement de la Russie et de leur conflit avec l’OTAN, devrait prendre le temps de le lire, de le décortiquer et de l’analyser.

Un grand merci au Grand soir et plus particulièrement à Viktor Dedaj pour cette nouvelle traduction qui a dû lui demander un travail considérable. J’espère qu’ils ne m’en voudront pas trop d’avoir copié intégralement le texte, le tout me semble important. Heureusement qu’il est là. Il s’agit d’une pièce d’information essentielle à mes yeux.

Bonne lecture.

Intervention de Vladimir Poutine à la session plénière de la 19ème réunion annuelle du Club Valdai (texte complet)

« Mesdames et messieurs, chers amis,

J’ai eu l’occasion de me faire une idée de ce dont vous avez discuté ici au cours des derniers jours. Ce fut une discussion intéressante et substantielle. J’espère que vous ne regrettez pas d’être venus en Russie et de communiquer entre vous.

Je suis heureux de vous voir tous.

Nous avons utilisé la plate-forme du Club Valdai pour discuter, plus d’une fois, des changements majeurs et graves qui ont déjà eu lieu et qui sont en train de se produire dans le monde, des risques posés par la dégradation des institutions mondiales, l’érosion des principes de sécurité collective et la substitution des « règles » au droit international. J’ai été tenté de dire “ nous savons clairement qui a élaboré ces règles ”, mais ce ne serait peut-être pas une affirmation exacte. Nous n’avons aucune idée de qui a inventé ces règles, de ce sur quoi ces règles sont basées, ou de ce que contiennent ces règles.

Il semble que nous soyons témoins d’une tentative d’application d’une seule règle par laquelle les personnes au pouvoir – nous parlions du pouvoir, et je parle maintenant du pouvoir mondial – pourraient vivre sans suivre aucune règle et pourraient s’en tirer à bon compte. Ce sont ces règles que nous entendons constamment, comme on dit, rabâcher, c’est-à-dire en parler sans cesse…

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Tous « vaccinés », tous empoisonnés

J’en entends encore, de ci de là, essayer de défendre mordicus les « vaccins » qui ont été injectés à des milliards de personnes, sous la pression des gouvernements, des médias, des « élites » et de tout ce que la bourgeoisie libérale occidentale peut engendrer de pusillanimité servile.

Il n’y a pourtant, pour toute personne qui sait encore additionner 2 et 2, et par quelque bout que vous preniez les chiffres, plus aucun doute sur la quadruple arnaque criminelle qui a été infligée aux populations occidentales consentantes, et quelquefois prosélytes elles-mêmes. Mais il faut enfoncer le clou. Répétons :

  1. Les injections anti-covid ne protègent pas contre la contraction du virus (au contraire, avec l’effet ADE)
  2. Les injections anti-covid ne protègent pas contre la transmission du virus (au contraire, à cause d’un portage plus long)
  3. Les injections anti-covid ne protègent pas contre les formes graves et encore moins contre la mort (il suffit de regarder la mortalité par statut vaccinal en Angleterre, seul pays à diffuser ces chiffres, pour s’en convaincre)
  4. Les injections anti-covid sont sources d’effets indésirables, graves, très graves et mortels comme jamais aucun vaccin ne s’est même approché au centième (il suffit de regarder la base VAERS pour s’en convaincre)

Franchement, on s’attend à quoi d’un produit appelé « vaccin » ? Ne serait-il pas naturel de s’attendre à une amélioration de la situation COVID ? Surtout qu’on nous serine (sans mauvais jeu de mots) que le virus décimateur circule toujours, brrr. Et une amélioration de la situation ne devrait-elle pas se traduire sur la mortalité ?

Alors, j’ai regardé l’excès de mortalité, enregistré par le site de référence OWD, pour quelques pays européens frontaliers de la France, tous avec un taux de personnes inoculées à peu près semblable :

On voit bien sur ces courbes les campagnes de « vaccination » de masse qui débutent fin 2020 pour arriver en un an, fin 2021, à un plateau stabilisé autour des 80% de la population qui a reçu au moins 1 dose de produit. Ce taux n’a pratiquement plus changé depuis, et il reste donc dans tous ces pays un noyau dur de 15% à 20% de la population qui a refusé de se faire injecter quoi que ce soit (dont votre serviteur).

L’excès de mortalité se calcule comme la différence cumulée entre le nombre de décès (toutes causes confondues) signalés depuis le 1er janvier 2020 et le nombre de décès projeté pour la même période sur la base des années précédentes. Il s’agit donc bien d’un indicateur statistique. Et ça donne ceci :

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