J’en entends encore, de ci de là, essayer de défendre mordicus les « vaccins » qui ont été injectés à des milliards de personnes, sous la pression des gouvernements, des médias, des « élites » et de tout ce que la bourgeoisie libérale occidentale peut engendrer de pusillanimité servile.
Il n’y a pourtant, pour toute personne qui sait encore additionner 2 et 2, et par quelque bout que vous preniez les chiffres, plus aucun doute sur la quadruple arnaque criminelle qui a été infligée aux populations occidentales consentantes, et quelquefois prosélytes elles-mêmes. Mais il faut enfoncer le clou. Répétons :
- Les injections anti-covid ne protègent pas contre la contraction du virus (au contraire, avec l’effet ADE)
- Les injections anti-covid ne protègent pas contre la transmission du virus (au contraire, à cause d’un portage plus long)
- Les injections anti-covid ne protègent pas contre les formes graves et encore moins contre la mort (il suffit de regarder la mortalité par statut vaccinal en Angleterre, seul pays à diffuser ces chiffres, pour s’en convaincre)
- Les injections anti-covid sont sources d’effets indésirables, graves, très graves et mortels comme jamais aucun vaccin ne s’est même approché au centième (il suffit de regarder la base VAERS pour s’en convaincre)
Franchement, on s’attend à quoi d’un produit appelé « vaccin » ? Ne serait-il pas naturel de s’attendre à une amélioration de la situation COVID ? Surtout qu’on nous serine (sans mauvais jeu de mots) que le virus décimateur circule toujours, brrr. Et une amélioration de la situation ne devrait-elle pas se traduire sur la mortalité ?
Alors, j’ai regardé l’excès de mortalité, enregistré par le site de référence OWD, pour quelques pays européens frontaliers de la France, tous avec un taux de personnes inoculées à peu près semblable :

On voit bien sur ces courbes les campagnes de « vaccination » de masse qui débutent fin 2020 pour arriver en un an, fin 2021, à un plateau stabilisé autour des 80% de la population qui a reçu au moins 1 dose de produit. Ce taux n’a pratiquement plus changé depuis, et il reste donc dans tous ces pays un noyau dur de 15% à 20% de la population qui a refusé de se faire injecter quoi que ce soit (dont votre serviteur).
L’excès de mortalité se calcule comme la différence cumulée entre le nombre de décès (toutes causes confondues) signalés depuis le 1er janvier 2020 et le nombre de décès projeté pour la même période sur la base des années précédentes. Il s’agit donc bien d’un indicateur statistique. Et ça donne ceci :

On voit nettement sur ces courbes le plateau de surmortalité sur 2020 (sauf pour l’Allemagne). Excès de mortalité qui s’explique naturellement par l’apparition du nouveau virus et le désordre qui s’en est suivi, mais encore plus probablement par le refus de soigner les gens et les campagnes pour pousser vers la mort nos plus anciens (par exemple avec le scandale Rivotril dans les EHPAD français).
Mais il est à noter que TOUTES les courbes se remettent à grimper au début de 2021 quand les injections de masse commencent. En d’autres termes, la mortalité toutes causes confondues dans les pays occidentaux lourdement injectés est supérieure à ce qui était attendu, et cet excès ne cesse d’augmenter. On meurt plus qu’attendu … malgré (ou à cause) le « vaccin » qui devait protéger ! Ça, c’est un putain de vaccin !
Si on regarde les chiffres français de l’INSEE maintenant. Bon, je ne suis pas statisticien et ce que je vais présenter ci-après n’a donc rien d’une étude statistique. Il faudrait pour cela nettoyer les données, et en particulier, les ajuster sur une même pyramide des âges. Ce travail a été fait à maintes reprises par des mathématiciens (V. Pavan ou P. Chaillot par exemple) et vous n’avez qu’à aller voir leurs travaux si ça vous intéresse. Moi, je prends juste les chiffres bruts du nombre de morts (toutes causes) en France fournis par l’INSEE :
janv | fév | mars | avr | mai | juin | juil | août | sept | oct | nov | déc | |
2018 | 59 774 | 52 175 | 60 391 | 50 416 | 47 841 | 45 027 | 48 331 | 47 176 | 45 803 | 49 993 | 49 736 | 52 985 |
2019 | 60 410 | 55 837 | 53 630 | 49 160 | 49 100 | 46 468 | 48 158 | 47 056 | 46 181 | 50 410 | 51 905 | 54 958 |
2020 | 57 400 | 51 400 | 63 200 | 67 000 | 49 200 | 46 300 | 47 200 | 49 300 | 49 400 | 58 200 | 66 300 | 64 200 |
2021 | 66 800 | 57 300 | 58 700 | 57 400 | 52 600 | 46 200 | 48 800 | 51 600 | 50 000 | 54 000 | 53 700 | 63 300 |
2022 | 66 700 | 57 000 | 57 200 | 56 100 | 51 200 | 48 300 | 54 500 | 55 200 |
Pour 2022, les chiffres s’arrêtent au mois d’août car les données de septembre ne sont pas encore compilées.
Maintenant, faites le cumul du nombre de morts sur les 8 premiers mois de l’année, les seuls mois disponibles, je répète, pour 2022, et vous obtenez ça :
Année | Commentaire | Nombre cumulé de morts Du 1er janvier au 30 septembre |
2018 | Pas de COVID | 411 000 |
2019 | Pas de COVID | 410 000 |
2020 | 1ère année COVID Sans « vaccin » | 431 000 |
2021 | COVID « Vaccination » de masse en cours | 439 400 |
2022 | COVID 80 % de la population « Vaccinée » | 446 200 |
Eh oui, malgré l’hécatombe des mois de mars-avril 2020 où la maladie est apparue et les traitements interdits, les 8 premiers mois des années « vaccinées » 2021 et 2022 restent plus meurtrières que 2020.
Comment voulez-vous me faire croire que ces injections protègent de quoi que ce soit ? Au contraire, au vu de ces chiffres, ne serait-il pas plus raisonnable, « scientifique » (pour titiller les nofake med et autres factcheckers) d’inférer que ces injections sont en fait … des poisons.
A vous de voir.
Merci pour ce petit article simple à comprendre et vraiment édifiant. Je fais circuler .
J’aimeAimé par 1 personne